Je viens de voir ce film, et j'avoue qu'il m'a laissé perplexe. J'arrive pas vraiment à savoir si je l'aime ou si je le déteste.Repo! The Genetic Opera est un opéra rock datant de 2008, l'histoire en gros se passe au milieu du XXIème siècle dans un monde où une épidémie détruit les organes d'une majorité de la population. Une compagnie, Geneco, décide donc de vendre des organes en faisant signer un contrat au bénéficiaire: il paiera plus tard. Si par malheur il ne paye pas dans le délai imparti, un Repoman viendra récupérer le ou les organes à vif. À tout ça se rajoute le mélodrame d'un triangle amoureux sanglant...
Ce synopsis avait piqué ma curiosité, mais en voyant le nom de Paris Hilton dans la liste des acteurs j'avoue que ça m'avait un peu refroidie. Au final, son rôle mineur n'est pas très différent de ce qu'elle "fait" dans la vie: fille du riche fondateur de la Geneco, dépravée, accro à une drogue, le zydrate, et à la chirurgie.
Niveau musical, même si les chansons sont bien rien ne m'a vraiment marqué à par la chanson "Night Surgeon" (c'est clair, on est loin du Rocky Horror Picture Show). Niveau film, c'est bien gore et assez kitsch par moment, donc rien à redire à ce niveau là, mais l'histoire reste globalement très plate.
Niveau personnage, là aussi pas mal de trucs intéressants: Repoman, chirurgien implacable joué par Anthony Stewart est à la fois un vrai boucher mais peu parfois être très drôle (mais j'ai peut être un humour de merde aussi). En plus j'adore sa voix qui varie entre son rôle de père attentionné et de repossesseur d'organe. Le narrateur de l'histoire est un pilleur de tombe à la recherche du zydrate qui reste enmagasiné dans le cerveau des cadavres pour le revendre ensuite, Graverobber. Miam.
Bref, tout ce pavé pour ne rien dire au final... Je sais pas si j'ai aimé le film (daube intersidérale ou film culte ?), mais j'ai certainement aimé le personnage de Repoman en tout cas.
D'ailleurs, cet été sort un film étrangement appelé "Repo men" et dont l'histoire ressemble curieusement à cet opéra rock... À voir ?
Aaaaah les tamagotchis. Je me rappelle, la première fois que j'en ai eu un je devais avoir 7 ou 8 ans. Ça faisait très "pointe de la technologie" à l'époque, une bestiole virtuelle qui évolue différemment en fonction de comment on s'en occupe. Chez moi à cette période, ma mère avait décrété que mon père ne voulait pas d'animaux, pas même un poisson rouge, donc avoir une bébête, c'était un rêve d'enfant qui demande un poney à nowel. Le fait qu'elle soit virtuelle et ne vive qu'une semaine n'avait pas vraiment d'importance à l'époque, on s'y attachait quand même (j'ai été très triste à la mort de mon premier tamagotchi).
